Prénom Nom
Adresse
CP Ville
DIRECTEUR HOTEL
DIRECTEUR RESTAURANT
Tél. port. 06
Né à Rouen le 01 janvier 1964

Expérience professionnelle

De Février 2006 à Mai 2010
Directeur de l’hôtel Best Western XY (3***) Région parisienne
48 chambres 200m2 de salons
- suivi veille concurrentiel
- gestion et optimisation des sites marchands
- yield management
- élaboration budget
- Mise en place carte de fidélité et contrôle qualité
- élaboration et suivi du plan d’action commerciale
- prospection et réalisation des banquets et séminaires
- suivi et implication dans la gestion courante de tous les services
- établissement et analyse des tableaux de bords
- réorganisation et réouverture du restaurant « Le G…… »
De juin 1999 à septembre 2005
Directeur et Directeur délégué de la SA « XYZ »
- gestion de deux unités : 61 chambres et 44 chambres
- mise en place et formation de directeurs
- comptabilité générale (logiciel quadra compta)
- suivi et respect des procédures de l’entreprise
- élaboration des budgets
- établissement et analyse des tableaux de bords
- évolution du prix moyen chambre (42.68 € en 1999 et de 76.40 € en 2005) RBE de 44.32 %
- lauréat en 2004 et 2005 de la charte qualité du département de la CCI départementale
De juin 1998 à juin 1999
Directeur de l’hôtel restaurant A…. (2**)
61 chambres - CA annuel : 1 061 378 € - RBE : 43.58 %
1996 - 1998
Directeur de l’hôtel restaurant « Le L » (2**) Région parisienne
55 chambres - C.A.annuel : 640 000 € mensuel - RBE : 38 %
1995 - 1996
Directeur de l’hôtel restaurant C…… (2**) Région parisienne
60 chambres - développement du CA passant de 243 918 € en 1994 à 426 857€ en 1995
1992 - 1995
Directeur de l’hôtel restaurant C……. (2**) Région parisienne
55 chambres - C.A.annuel : 914 000 €
1990 - 1992
Directeur de l’hôtel restaurant C…….. (2**) Région parisienne
46 chambres - C.A.annuel : 1 317 000 €
De mai à septembre 1990
Directeur de l’hôtel restaurant C………. (2**) Région parisienne
55 chambres - C.A.annuel : 823 000 €
De 1988 à 1990
Assistant de direction à l’hôtel restaurant C……… (2**) Région parisienne
46 chambres

Formation

2008 Formation Best western « Member web »
2005 Stage Leadership et Management “Dale Carnegie Training”
2004 Formation Inter Hôtel « Développement et commercialisation »
1984 BTH Option A au Lycée hôtelier de « ville »
Stage au Holiday Inn « ville »(3***) au service Restauration
1982 CAP-BEP au Lycée hôtelier de « ville »
Stage au Montparnasse Park Hôtel (4****L) au service du « Room service »
Stage au Sofitel (4****L) de Sèvres au service Cuisine

Langues

Anglais : lu, parlé, écrit - Italien : lu, parlé, écrit - Allemand : notions

Divers

Permis de conduire B
Pratique des logiciels Word – Excel – Power Point – Amadeus – Rate Tiger - extranet
Tourisme – footing – sports nautiques – volley – Bénévole au Resto du Cœur

Très bien sur la forme, pourrait faire mieux sur le fond

L’avis de Julien Simounet, directeur de l’agence d’intérim Thédra Bordeaux, spécialisée en hôtellerie-restauration.
Une présentation pertinente
« De prime abord, ce CV est attrayant. La mise en page est claire, les informations principales sont lisibles rapidement et les différents postes occupés sont bien mis en valeur. Le tire nous permet de comprendre tout de suite à qui on a à faire. En somme la présentation donne envie de poursuivre la lecture. C’est ce qu’on appelle "passer le premier test". »
Attention aux termes techniques
« Concernant le contenu du CV, il faut garder à l’esprit que la première personne qui réceptionnera le CV n’est pas forcément un professionnel de l’hôtellerie-restauration. Il faut donc prendre garde à choisir un langage compréhensible de tous. Des expressions telles que « suivi et respect des procédures TMH » ou « évolution du prix moyen chambre (...) RBE de 44.32 % » sont déconseillées car elles sont obscures pour un recruteur qui n’est pas expert du secteur. Il aurait fallu les expliciter.
De même pour la formation scolaire, les trois premières lignes (2004, 2005, 2008) donnent un intitulé de formation sans l’expliquer ni même illustrer par un exemple des compétences acquises pendant ces formations. C’est relativement faible en information et donc, en valeur ajoutée. »
Être plus précis sur les dates
« On pourrait reprocher au candidat de n’avoir pas délimité ses expériences professionnelles avec des mois. Par exemple, lorsqu’il écrit « 1996-1998 », on serait tenté de dire qu’il a occupé cet emploi pendant deux ans. Or, s’il a été engagé fin 1996 et qu’il a quitté son poste début 1998, cela fait à peine plus d’un an, ce qui change la donne. »

Verdict ?

« Ce CV mériterait d’être revu. Pour autant, ce candidat a une bonne expérience et son CV reste agréable à lire. Je l’appellerais tout de même pour en savoir plus. »